Ici sont répertoriés les sites depuis lesquels nous tenons nos sources d'informations. Ils sont classés par parties.
I. La publicité
Pour l'affiche Renault, nous l'avons trouvée sur ce site. Les deux autres publicités ont été trouvées sur YouTube.
II. Avatar, un film métaphorique
Tout vient du film Avatar, que nous avons en notre possession. Nous avons découpé les parties du film auxquelles nous nous sommes intéressées, pour les héberger sur le site de YouTube.
III. Une nature restée sauvage ou changée par l'homme
Les photos de Yann Arthus Bertrand sont tirées d'ici. La publicité de GreenPeace contre Nestlé a été trouvée sur YouTube. La vidéo de Bienvenue dans ma tribu a été trouvée sur le site de TF1, via l'hébergeur Wat.
Depuis une soixantaine d'années, le monde de la publicité et des médias se développe de plus en plus dans la société.
Ces médias ont des buts différents selon ce qu'ils promeuvent, mais ils cherchent toujours à susciter une certaine sensiblité chez la cible visée, pour l'inciter à agir de façon souhaitée.
La publicité est l'ensemble des moyens utilisés pour faire connaître au public un produit, une entreprise industrielle, ou bien commerciale.
Ces moyens sont utilisés pour des causes sociales et éthniques, et parfois pour défendre les causes de la nature.
Dans ce TPE, nous étudierons ce que les hommes cherchent à faire comprendre aux visionneurs à propos de la nature et de l'environnement.
Tout d'abord, nous nous pencherons sur la publicité dans son ensemble et à divers niveaux. Secondement, notre travail se portera sur le film d'Avatar de James Cameron, et certains passages importants du film. Pour finir, notre étude se focalisera sur le côté sauvage de la nature, qui est cependant modifiée par l'homme.
Après l’attaque des Hommes, les Omaticayas ont regroupé tous
les clans de Na’vis présents sur Pandora. Ils se retrouvent au pied de l’arbre
des âmes, le plus grand lieu de recueillement des Na’vis auprès d’Eywa. Le chef
des troupes humaines, lui, décide de s’attaquer à ce lieu de culte, en le
bombardant avec des explosifs et des acides, dans le but d’exterminer le
peuple. Alerté de cet événement prochain, Jake se recueille auprès d’Eywa et
lui demande de l’aide pour la bataille à venir.
Menés par Jake, et aidés par les autres Avatars, les Na’vis
doivent alors combattre à nouveau contre les Hommes, mais leurs forces
s’affaiblissent peu à peu face à la puissance humaine. Devant cela, Eywa semble
se manifester.
En effet, cette bataille sans relâche de la part des humains
se trouve dévastatrice pour l’environnement de Pandora, qu’ils brûlent à l’aide
de lance-flammes, et les Na’vis, eux, sont mitraillés par les Hommes, et
semblent peu à peu être anéantis. Neytiri, fille du chef défunt des Na’vis, est
prise au piège derrière un arbre, après la mort de son Ikran, le dragon volant
qu’elle chevauchait, qui fût mitraillé par les machines humaines. Les Hommes
approchent peu à peu, armes en mains, lorsqu’ils sont alertés par une
force qui s’élèverait depuis la forêt. Ce sont des animaux, envoyés par Eywa,
qui s’abattent sur les forces humaines. Ces animaux colossaux foncent sans
s’arrêter vers le lobby mécanique des Hommes, et les écrasent, sans scrupule.
Ce passage du film nous renvoie une image vengeresse de la
nature envers les actes immoraux des Hommes. En effet, Eywa, déesse et
préservatrice de l’écosystème de Pandora, se venge des attaques humaines en
s’attaquant à eux grâce à une force naturelle.
En effet, les Hommes s’imposent à cet endroit où la nature
semble dominante, et où les peuples s’adaptent à sa primitivité. Les Hommes
s’attaquent à cet arbre, que les Na’vis utilisent comme maison. Leurs
bombardements s’abattent sur l’arbre gigantesque, et il prend feu, alors que la
population l’habitant se retrouve coincée dans cette ambiance de guerre, face à
laquelle elle ne peut rien faire, car ses armes, qui ne sont que de simples
arcs, sont incapables de faire face aux missiles. Les Omaticayas n’ont qu’une
alternative : fuir.
Ce passage reflète la violence de l’Homme et de ses
agissements immoraux envers la nature. Ils surviennent dans des avions et des
hélicoptères d’une technologie très avancée, comparée à celle du peuple auquel
ils s’attaquent. L’arbre maison, qui est détruit, et qui s’effondre sous la
puissance militaire humaine, représente le monde naturel. Les Hommes s’y
attaquent dans un but souvent marchand.
Dans Avatar, la recherche économique est imagée par la
récolte de l’unobtainium, ressource présente sur Pandora, planète imaginaire
sortie de la tête de James Cameron. Cette ressource, ayant une valeur
inestimable, est très prisée par les Hommes qui se sont installés sur cette planète.
L’unobtainium peut alors s’apparenter, dans le monde réel, au pétrole ou à
l’or. L’arbre maison prend alors la place de la forêt amazonienne, détruite au
profit des riches entrepreneurs, dont le seul intérêt est l’enrichissement par
les puits de pétroles, ou les gisements d’or. L’unobtainium, tout comme les
minerais, se trouve sous une richesse naturelle : la forêt. Le lobby
technologique du film est à l’image des moyens technologiques utilisés par
l’Homme pour achever cette nature qui culmine les richesses convoitées du monde
terrestre. Pour arriver à déterrer ce qu’ils convoitent, les Hommes doivent
détruire cette nature.
Dans cette partie du film, la nature est donc représentée
comme une victime de l’Homme et de ses actes, menés à bien grâce à une
technologie nouvelle, devant laquelle la nature est impuissante.
Sorti fin 2009, Avatar est un film de science-fiction
réalisé par l’américain James Cameron. L’action se déroule sur Pandora, en
2154. Cette planète est peuplée de Na’vis, un peuple qui vit en parfaite osmose
avec son environnement : une jungle luxurieuse, dont une certaine Eywa en
est la divinité, gardienne de l’écosystème de cette planète, qui en est le
temple. Cependant, les Hommes se sont installés sur Pandora, au détriment des
Na’vis, qu’ils pensent hostiles. Seuls quelques humains, dont Jake Sully, un
ancien marine devenu paraplégique, ainsi que des scientifiques, tentent
d’entrer en contact amical avec les Na’vis. Grâce à une recherche scientifique,
ils vont mettre au point un Avatar, c'est-à-dire un être artificiel, qui a tout
d’un Na’vi. Avec son Avatar, Jake se retrouve chez les Na’vis, dans le clan des
Omaticayas.
Les Hommes vont alors
détruire la nature sacrée par le peuple de Pandora, mais Eywa, leur divinité,
se vengera de l’attaque humaine par des moyens naturels.
C’est une tribu qui se trouve entre l’Equateur et le Pérou, dans
la forêt Amazonienne.
Ils ont développé une culture orale particulièrement riche
en connaissance sur leur environnement naturel. Ils ont énormément de
vocabulaire sur la faune et la flore et ont une connaissance sur les plantes
médicinales de la forêt.
Cette tribu apparaît dans « Bienvenue dans ma
tribu » qui est une émission proposée par TF1 où trois familles françaises
vont dans trois tribus différentes pendant trois semaines. Ils doivent
s’adapter à leur quotidien, au respect de la nature, et ce qu’elle leur donne
pour pouvoir survivre.
Ceux-ci apprennent à chasser le singe aux étrangers. Ils les
tuent avec des flèches et des sarbacanes en bois, ce qui montre qu’ils se
contentent que de ce que leur apporte la nature.
De plus, ils ne cherchent pas à la détruire en construisant
des maisons en béton, elles sont plutôt construites avec du bois, le sol est
recouvert de feuilles de palmiers et comme ils ne connaissent pas le plastic ou
autres matières polluantes, ils n’abîment pas la nature.
On peut donc dire que les hommes peuvent cohabiter avec la
nature en connaissant les bienfaits qu’elle leur apporte et en s’adaptant à ce
qu’elle leur apporte et en s’en contentant.
La nature ici a une image de « mère » des tribus
puisqu’elle leur apporte tous les besoins que ce soit des besoins médicaux, de
nourriture et d’abri.
La forêt indonésienne est une forêt tropicale qui
couvrait 75% du territoire indonésien. Aujourd’hui elle à perdu 50% de son
étendue en 50ans : elle perd 2 millions d’hectares par an, soit un
terrain de football toutes les 15 secondes.
Java et Sulawesi sont déjà déforestées.
Greenpeace a voulu faire une campagne pour dénoncer l’utilisation d’huile de palme par Nestlé. Cette huile est
issue de la destruction des forêts tropicales et de la disparition de certaines
espèces animales dans la fabrication de certains produits alimentaires tel que
la marque Nestlé.
En
premier, on peut y voir un homme, travaillant dans un bureau, qui détruit des
feuilles de papier dans une machine. Ensuite, cet homme veut faire un
« break ». Il ouvre alors un paquet de KitKat et on y aperçoit, une
fois ouvert, un doigt d’Orang Outan. Celui-ci ne s’en aperçoit pas et ne voit
pas le mal qu’il fait en le mangeant. Une femme de type asiatique essaye de lui
faire comprendre qu’il y à un problème, mais l’homme n’y fait pas attention, et
croque sauvagement dans la « barre de Kitkat ». Le sang qui se retrouve
sur le clavier dénonce la mort des Orang Outans. Plus tard, on y voit tout un
champ dénudé, sans arbres, et sans traces de vie.
Dans
cette publicité, l’employé de bureau, détruisant les feuilles de papiers dans
une broyeuse, pourrait représenter les industriels implantés en Indonésie, qui
détiennent environ 25 000
hectares de terres. Les feuilles qu’il détruit sont fabriquées à
partir de bois, et peuvent donc s’apparenter à la forêt détruite au profit des
plantations de palmiers à huile. Ces plantation ont pratiquement triplé :
il y en avait 2.4 millions d’hectares en 2002 et en 2007, 7 millions.
L’huile
récoltée sert dans le secteur agroalimentaire (chocolat, margarines, céréales,
pâtes, pizzas, confiseries, pâtisseries industrielles...), dans les cosmétiques
mais aussi dans le secteur agrocarburant pour faire du diesel. Cette huile ne
coûte pas très cher et sert donc à beaucoup de choses, comme à la création de
barres de Kitkat !
Cet
homme, après avoir détruit « la forêt », s’attaque aux animaux, en
mangeant le doigt d’Orang Outan qui se trouve dans l’emballage. Mais le fait
qu’il ne s’en rende pas compte nous emmène à penser que les industriels ne
réalisent pas le mal qu’ils font à la nature, ainsi qu’aux populations,
animales et humaines.
La métaphore du doigt nous conduit à penser
que ce doigt représente les animaux touchés par la déforestation, dans leur ensemble. Il ne resterait plus
que 7 300 Orang Outan, 400 à 500 tigres de Sumatra, 300 rhinocéros, et
quelques éléphants d’Asie. Si des singes ont le malheur de s’aventurer dans les
plantations, ils sont pourchassés et le plus souvent mis à mort. La mise à mort
de ces animaux sans défenses est représentée par le sang qui coule sur le
clavier. Le clavier peut alors se référer au côté industriel, ainsi qu’aux
machines qui aident à la destruction de la forêt.
La
jeune femme asiatique, qui se trouve en face de l’homme criminel, est choquée
par ses agissements, et essaye de l’interrompre dans sa sustentation. Elle
représente les populations indonésiennes, victimes, tout comme les animaux, de
la déforestation. Cette dernière va effectivement entraîner, au niveau de
l’eau, des risques d’inondations et un manque d’eau potable pour les
populations Indonésienne, car les arbres coupés créaient une protection au
niveau du sol, grâce à leurs racines, ce qui empêchait l’éboulement des
terrains.
Le
champ dénué de végétation et de vie que l’on voit à la suite de la « mise
à mort » de l’Orang outan est le résultat d’un agissement criminel et
injuste envers la nature qui n’a rien pour se défendre. Les animaux se
retrouvent sans habitat, et ne savent plus où aller dans cette terre déserte. Il
n’y a qu’un seul et unique arbre au milieu de cette terre devenue hostile pour
les animaux, alors qu’elle leur appartient.
La nature à une image de victime de l’Homme qui
subit sa destruction.
.Dans
cette première partie, nous allons voir l’image que donne l’homme de la nature
à travers diverses photographies prises par Yann Arthus Bertrand tirées de son
album «La terre vue du Ciel».
Le cœur de
Voh :
Cette
photographie représente une clairière naturelle, un marais à mangove, qui borde
le lagon Calédonien dans la région de Voh en Nouvelle Calédonie. On peut y voir
la forme d’un cœur.
Certains pensent que cette forme à
été créée artificiellement, mais au contraire, elle s’est faite
naturellement : ce cœur, grand de quatre hectares, se situe dans des
tannes qui sont des surfaces nues où il y a deux sortes de mangroves, un
groupement de végétaux, tels qu’à l’extérieur, se trouve le grand palétuvier,
c'est-à-dire, des arbres, des arbustes tropicaux, qui mettent leurs racines
dans l’eau et à l’intérieur, le petit palétuvier. Cet assemblage des deux
sortes de mangroves forme un cœur.
Ce cœur pourrait montrer que la
nature est belle quand les Hommes ne s’y imposent pas.
Archipel des
Iles-sous-le-vent :
Les îles sous-le-vent sont un groupe d’îles. C’est l’un des cinq
archipels qui constituent la
Polynésie française. L’île concernée est à Bora Bora, elle
fait environ 38km2.
Sa partie émergée est constituée
d’un cratère d’un ancien volcan vieux de 7 millions d’années, entouré d’un
récif barrière de corail où se sont développés des îlots coralliens couverts
d’une végétation comprenant principalement des cocotiers.
La couleur bleue turquoise de l’eau représente la pureté de la nature.
Ilot Nuami :
Cet îlot se trouve au Sud de l’île des Pins, à l’atoll de Nokan Hui en
Nouvelle Calédonie.
Il constitue la plus vaste étendue
émergée de l’atoll. C’est un fragment issu du continent australasien, qui a évolué
en état d’isolement.
L’œil des
Maldives :
L’œil des Maldives, qui se trouve en
plein cœur de l’océan indien, fait partie de l’atoll de Malé Nord aux Maldives.
Cette île est constituée de coraux
qui se sont développés sur un support rocheux qui s’est affaissé au cours du
temps. Il laisse alors apparaître un récif annulaire qui entoure une lagune peu
profonde.
En conclusion, on peut dire qu’ici, Yann Arthus Bertrand nous montre une image de la
nature correspondant à une nature inchangée, préservée, respectée et respectable
par sa beauté.
Dans cette partie, nous allons voir que sur Terre, certains endroits ont gardé leur naturel, grâce à des photos de Yann Arthus Bertrand. Nous verrons aussi que d'autres lieux l'ont perdu à cause de l'Homme, voulant étendre sa production. Cette facette nous est montrée par une publicité de GreenPeace. Malgré cela, certains Homme cohabitent avec la nature et la respectent, car ils veulent la préserver, comme certaines émissions télévisées qui présentent des tribus.
Dans
cette publicité, Volvic nous montre les bien fait de la nature, a travers l’eau
des volcans de Volvic. Elle nous montre la façon dont est
« récoltée » l’eau. Il nous présente l’eau, comme le meilleur de la
nature. Cette eau est la meilleure pour notre corps, elle permet une hydratation
meilleure, mais elle est aussi responsable envers la nature.
Cette eau est puisée dans les volcans d’auvergne qui sont dans un
écosystème préservé, elle montre que la nature est une chose qu’il faut
préserver et qu’il faut respecter. L’eau Volvic apporte la joie, la bonne
humeur, elle donne le moral au gens et à l’organisme un bon fonctionnement.
Elle est accessible à tous les âges. (De plus Volvic fabrique ses bouteilles
100% recyclable ce qui montre que la nature est importante pour elle et qu’elle
souhaite la préservée.)
A travers cette publicité, Volvic nous montre une nature belle, parfaite, et préservée par l'homme, car il sait qu'elle possède des vertus bienfaisantes pour lui.