Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Quelle image de la nature l'homme donne-t-il à travers la publicité et les médias ?

14 janvier 2011

Bibliographie

Ici sont répertoriés les sites depuis lesquels nous tenons nos sources d'informations. Ils sont classés par parties.

I. La publicité

Pour l'affiche Renault, nous l'avons trouvée sur ce site.
Les deux autres publicités ont été trouvées sur YouTube.

II. Avatar, un film métaphorique

Tout vient du film Avatar, que nous avons en notre possession. Nous avons découpé les parties du film auxquelles nous nous sommes intéressées, pour les héberger sur le site de YouTube.

III. Une nature restée sauvage ou changée par l'homme

Les photos de Yann Arthus Bertrand sont tirées d'ici.
La publicité de GreenPeace contre Nestlé a été trouvée sur YouTube.
La vidéo de Bienvenue dans ma tribu a été trouvée sur le site de TF1, via l'hébergeur Wat.

Publicité
Publicité
11 janvier 2011

Introduction

Depuis une soixantaine d'années, le monde de la publicité et des médias se développe de plus en plus dans la société.

Ces médias ont des buts différents selon ce qu'ils promeuvent, mais ils cherchent toujours à susciter une certaine sensiblité chez la cible visée, pour l'inciter à agir de façon souhaitée.

La publicité est l'ensemble des moyens utilisés pour faire connaître au public un produit, une entreprise industrielle, ou bien commerciale.

Ces moyens sont utilisés pour des causes sociales et éthniques, et parfois pour défendre les causes de la nature.

Dans ce TPE, nous étudierons ce que les hommes cherchent à faire comprendre aux visionneurs à propos de la nature et de l'environnement.

Tout d'abord, nous nous pencherons sur la publicité dans son ensemble et à divers niveaux. Secondement, notre travail se portera sur le film d'Avatar de James Cameron, et certains passages importants du film. Pour finir, notre étude se focalisera sur le côté sauvage de la nature, qui est cependant modifiée par l'homme.

4 janvier 2011

b. La nature reprend le dessus

Après l’attaque des Hommes, les Omaticayas ont regroupé tous les clans de Na’vis présents sur Pandora. Ils se retrouvent au pied de l’arbre des âmes, le plus grand lieu de recueillement des Na’vis auprès d’Eywa. Le chef des troupes humaines, lui, décide de s’attaquer à ce lieu de culte, en le bombardant avec des explosifs et des acides, dans le but d’exterminer le peuple. Alerté de cet événement prochain, Jake se recueille auprès d’Eywa et lui demande de l’aide pour la bataille à venir.

Menés par Jake, et aidés par les autres Avatars, les Na’vis doivent alors combattre à nouveau contre les Hommes, mais leurs forces s’affaiblissent peu à peu face à la puissance humaine. Devant cela, Eywa semble se manifester.


En effet, cette bataille sans relâche de la part des humains se trouve dévastatrice pour l’environnement de Pandora, qu’ils brûlent à l’aide de lance-flammes, et les Na’vis, eux, sont mitraillés par les Hommes, et semblent peu à peu être anéantis. Neytiri, fille du chef défunt des Na’vis, est prise au piège derrière un arbre, après la mort de son Ikran, le dragon volant qu’elle chevauchait, qui fût mitraillé par les machines humaines. Les Hommes approchent peu à peu, armes en mains, lorsqu’ils sont alertés par une force qui s’élèverait depuis la forêt. Ce sont des animaux, envoyés par Eywa, qui s’abattent sur les forces humaines. Ces animaux colossaux foncent sans s’arrêter vers le lobby mécanique des Hommes, et les écrasent, sans scrupule.


Ce passage du film nous renvoie une image vengeresse de la nature envers les actes immoraux des Hommes. En effet, Eywa, déesse et préservatrice de l’écosystème de Pandora, se venge des attaques humaines en s’attaquant à eux grâce à une force naturelle.

4 janvier 2011

a. La destruction de la nature par l'Homme

En effet, les Hommes s’imposent à cet endroit où la nature semble dominante, et où les peuples s’adaptent à sa primitivité. Les Hommes s’attaquent à cet arbre, que les Na’vis utilisent comme maison. Leurs bombardements s’abattent sur l’arbre gigantesque, et il prend feu, alors que la population l’habitant se retrouve coincée dans cette ambiance de guerre, face à laquelle elle ne peut rien faire, car ses armes, qui ne sont que de simples arcs, sont incapables de faire face aux missiles. Les Omaticayas n’ont qu’une alternative : fuir.


Ce passage reflète la violence de l’Homme et de ses agissements immoraux envers la nature. Ils surviennent dans des avions et des hélicoptères d’une technologie très avancée, comparée à celle du peuple auquel ils s’attaquent. L’arbre maison, qui est détruit, et qui s’effondre sous la puissance militaire humaine, représente le monde naturel. Les Hommes s’y attaquent dans un but souvent marchand.


Dans Avatar, la recherche économique est imagée par la récolte de l’unobtainium, ressource présente sur Pandora, planète imaginaire sortie de la tête de James Cameron. Cette ressource, ayant une valeur inestimable, est très prisée par les Hommes qui se sont installés sur cette planète. L’unobtainium peut alors s’apparenter, dans le monde réel, au pétrole ou à l’or. L’arbre maison prend alors la place de la forêt amazonienne, détruite au profit des riches entrepreneurs, dont le seul intérêt est l’enrichissement par les puits de pétroles, ou les gisements d’or. L’unobtainium, tout comme les minerais, se trouve sous une richesse naturelle : la forêt. Le lobby technologique du film est à l’image des moyens technologiques utilisés par l’Homme pour achever cette nature qui culmine les richesses convoitées du monde terrestre. Pour arriver à déterrer ce qu’ils convoitent, les Hommes doivent détruire cette nature.


Dans cette partie du film, la nature est donc représentée comme une victime de l’Homme et de ses actes, menés à bien grâce à une technologie nouvelle, devant laquelle la nature est impuissante.

4 janvier 2011

Introduction

Sorti fin 2009, Avatar est un film de science-fiction réalisé par l’américain James Cameron. L’action se déroule sur Pandora, en 2154. Cette planète est peuplée de Na’vis, un peuple qui vit en parfaite osmose avec son environnement : une jungle luxurieuse, dont une certaine Eywa en est la divinité, gardienne de l’écosystème de cette planète, qui en est le temple. Cependant, les Hommes se sont installés sur Pandora, au détriment des Na’vis, qu’ils pensent hostiles. Seuls quelques humains, dont Jake Sully, un ancien marine devenu paraplégique, ainsi que des scientifiques, tentent d’entrer en contact amical avec les Na’vis. Grâce à une recherche scientifique, ils vont mettre au point un Avatar, c'est-à-dire un être artificiel, qui a tout d’un Na’vi. Avec son Avatar, Jake se retrouve chez les Na’vis, dans le clan des Omaticayas.

 Les Hommes vont alors détruire la nature sacrée par le peuple de Pandora, mais Eywa, leur divinité, se vengera de l’attaque humaine par des moyens naturels.

Publicité
Publicité
14 décembre 2010

c. La cohabitation entre l'espèce humaine et le monde naturel

Dans cette dernière partie, nous allons voir par quels moyens l’Homme peut cohabiter avec la nature et en conclure son image.


Village sur pilotis de Tongcquil, aux Philippines : 


village_pilotis


Dans ce village construit de pilotis et de barques, vivent les Badjaos, surnommés « les gitans de la mer ».

Pour vivre, ils pratiquent la pêche, la récolte des coquillages et d’huîtres perlières.

Dès leur plus jeune âge, les Badjaos apprennent à nager, se sentent plus à l’aise dans l’eau que sur la terre ferme.

Ils sont donc en totale osmose avec l’environnement marin.


Les Zaparas :

 

C’est une tribu qui se trouve entre l’Equateur et le Pérou, dans la forêt Amazonienne.

Ils ont développé une culture orale particulièrement riche en connaissance sur leur environnement naturel. Ils ont énormément de vocabulaire sur la faune et la flore et ont une connaissance sur les plantes médicinales de la forêt.

 

Cette tribu apparaît dans « Bienvenue dans ma tribu » qui est une émission proposée par TF1 où trois familles françaises vont dans trois tribus différentes pendant trois semaines. Ils doivent s’adapter à leur quotidien, au respect de la nature, et ce qu’elle leur donne pour pouvoir survivre.

 

Ceux-ci apprennent à chasser le singe aux étrangers. Ils les tuent avec des flèches et des sarbacanes en bois, ce qui montre qu’ils se contentent que de ce que leur apporte la nature.

De plus, ils ne cherchent pas à la détruire en construisant des maisons en béton, elles sont plutôt construites avec du bois, le sol est recouvert de feuilles de palmiers et comme ils ne connaissent pas le plastic ou autres matières polluantes, ils n’abîment pas la nature.

 On peut donc dire que les hommes peuvent cohabiter avec la nature en connaissant les bienfaits qu’elle leur apporte et en s’adaptant à ce qu’elle leur apporte et en s’en contentant.

La nature ici a une image de « mère » des tribus puisqu’elle leur apporte tous les besoins que ce soit des besoins médicaux, de nourriture et d’abri.

 

14 décembre 2010

b. Quand l'Homme s'impose à la nature

La forêt indonésienne est une forêt tropicale qui couvrait 75% du territoire indonésien. Aujourd’hui elle à perdu 50% de son étendue en 50ans : elle perd 2 millions d’hectares par an, soit  un terrain de football toutes les 15 secondes.   

Java et Sulawesi sont déjà déforestées.

 

 Greenpeace a voulu faire une campagne pour dénoncer l’utilisation d’huile de palme par Nestlé. Cette huile est issue de la destruction des forêts tropicales et de la disparition de certaines espèces animales dans la fabrication de certains produits alimentaires tel que la marque Nestlé.

 En premier, on peut y voir un homme, travaillant dans un bureau, qui détruit des feuilles de papier dans une machine. Ensuite, cet homme veut faire un « break ». Il ouvre alors un paquet de KitKat et on y aperçoit, une fois ouvert, un doigt d’Orang Outan. Celui-ci ne s’en aperçoit pas et ne voit pas le mal qu’il fait en le mangeant. Une femme de type asiatique essaye de lui faire comprendre qu’il y à un problème, mais l’homme n’y fait pas attention, et croque sauvagement dans la « barre de Kitkat ». Le sang qui se retrouve sur le clavier dénonce la mort des Orang Outans. Plus tard, on y voit tout un champ dénudé, sans arbres, et sans traces de vie.

 Dans cette publicité, l’employé de bureau, détruisant les feuilles de papiers dans une broyeuse, pourrait représenter les industriels implantés en Indonésie, qui détiennent environ 25 000 hectares de terres. Les feuilles qu’il détruit sont fabriquées à partir de bois, et peuvent donc s’apparenter à la forêt détruite au profit des plantations de palmiers à huile. Ces plantation ont pratiquement triplé : il y en avait 2.4 millions d’hectares en 2002 et en 2007, 7 millions.

 L’huile récoltée sert dans le secteur agroalimentaire (chocolat, margarines, céréales, pâtes, pizzas, confiseries, pâtisseries industrielles...), dans les cosmétiques mais aussi dans le secteur agrocarburant pour faire du diesel. Cette huile ne coûte pas très cher et sert donc à beaucoup de choses, comme à la création de barres de Kitkat !

 Cet homme, après avoir détruit « la forêt », s’attaque aux animaux, en mangeant le doigt d’Orang Outan qui se trouve dans l’emballage. Mais le fait qu’il ne s’en rende pas compte nous emmène à penser que les industriels ne réalisent pas le mal qu’ils font à la nature, ainsi qu’aux populations, animales et humaines.

  La métaphore du doigt nous conduit à penser que ce doigt représente les animaux touchés par la déforestation, dans leur ensemble. Il ne resterait plus que 7 300 Orang Outan, 400 à 500 tigres de Sumatra, 300 rhinocéros, et quelques éléphants d’Asie. Si des singes ont le malheur de s’aventurer dans les plantations, ils sont pourchassés et le plus souvent mis à mort. La mise à mort de ces animaux sans défenses est représentée par le sang qui coule sur le clavier. Le clavier peut alors se référer au côté industriel, ainsi qu’aux machines qui aident à la destruction de la forêt.

                La jeune femme asiatique, qui se trouve en face de l’homme criminel, est choquée par ses agissements, et essaye de l’interrompre dans sa sustentation. Elle représente les populations indonésiennes, victimes, tout comme les animaux, de la déforestation. Cette dernière va effectivement entraîner, au niveau de l’eau, des risques d’inondations et un manque d’eau potable pour les populations Indonésienne, car les arbres coupés créaient une protection au niveau du sol, grâce à leurs racines, ce qui empêchait l’éboulement des terrains.

 Le champ dénué de végétation et de vie que l’on voit à la suite de la « mise à mort » de l’Orang outan est le résultat d’un agissement criminel et injuste envers la nature qui n’a rien pour se défendre. Les animaux se retrouvent sans habitat, et ne savent plus où aller dans cette terre déserte. Il n’y a qu’un seul et unique arbre au milieu de cette terre devenue hostile pour les animaux, alors qu’elle leur appartient.

 

La nature à une image de victime de l’Homme qui subit sa destruction.

14 décembre 2010

a. La primitivité de la nature

.Dans cette première partie, nous allons voir l’image que donne l’homme de la nature à travers diverses photographies prises par Yann Arthus Bertrand tirées de son album «La terre vue du Ciel».

 

 Le cœur de Voh :

Coeur_de_voh


Cette photographie représente une clairière naturelle, un marais à mangove, qui borde le lagon Calédonien dans la région de Voh en Nouvelle Calédonie. On peut y voir la forme d’un cœur.

Certains pensent que cette forme à été créée artificiellement, mais au contraire, elle s’est faite naturellement : ce cœur, grand de quatre hectares, se situe dans des tannes qui sont des surfaces nues où il y a deux sortes de mangroves, un groupement de végétaux, tels qu’à l’extérieur, se trouve le grand palétuvier, c'est-à-dire, des arbres, des arbustes tropicaux, qui mettent leurs racines dans l’eau et à l’intérieur, le petit palétuvier. Cet assemblage des deux sortes de mangroves forme un cœur.

Ce cœur pourrait montrer que la nature est belle quand les Hommes ne s’y imposent pas.


Archipel des Iles-sous-le-vent :

ile_sous_le_vent

 

 Les îles sous-le-vent sont un groupe d’îles. C’est l’un des cinq archipels qui constituent la Polynésie française. L’île concernée est à Bora Bora, elle fait environ 38km2.

Sa partie émergée est constituée d’un cratère d’un ancien volcan vieux de 7 millions d’années, entouré d’un récif barrière de corail où se sont développés des îlots coralliens couverts d’une végétation comprenant principalement des cocotiers.

 La couleur bleue turquoise de l’eau représente la pureté de la nature.


Ilot Nuami :

ilot_nuami

 

 Cet îlot se trouve au Sud de l’île des Pins, à l’atoll de Nokan Hui en Nouvelle Calédonie.

Il constitue la plus vaste étendue émergée de l’atoll. C’est un fragment issu du continent australasien, qui a évolué en état d’isolement.


L’œil des Maldives :

l_oeil_des_maldives

L’œil des Maldives, qui se trouve en plein cœur de l’océan indien, fait partie de l’atoll de Malé Nord aux Maldives.

Cette île est constituée de coraux qui se sont développés sur un support rocheux qui s’est affaissé au cours du temps. Il laisse alors apparaître un récif annulaire qui entoure une lagune peu profonde.



En conclusion, on peut dire qu’ici, Yann Arthus Bertrand nous montre une image de la nature correspondant à une nature inchangée, préservée, respectée et respectable par sa beauté.

 

14 décembre 2010

Introduction

Dans cette partie, nous allons voir que sur Terre, certains endroits ont gardé leur naturel, grâce à des photos de Yann Arthus Bertrand. Nous verrons aussi que d'autres lieux l'ont perdu à cause de l'Homme, voulant étendre sa production. Cette facette nous est montrée par une publicité de GreenPeace. Malgré cela, certains Homme cohabitent avec la nature et la respectent, car ils veulent la préserver, comme certaines émissions télévisées qui présentent des tribus.

14 décembre 2010

c. La nature : Une source de bien être

Dans cette publicité, Volvic nous montre les bien fait de la nature, a travers l’eau des volcans de Volvic. Elle nous montre la façon dont est « récoltée » l’eau. Il nous présente l’eau, comme le meilleur de la nature. Cette eau est la meilleure pour notre corps, elle permet une hydratation meilleure, mais elle est aussi responsable envers la nature.



Cette eau est puisée dans les volcans d’auvergne qui sont dans un écosystème préservé, elle montre que la nature est une chose qu’il faut préserver et qu’il faut respecter. L’eau Volvic apporte la joie, la bonne humeur, elle donne le moral au gens et à l’organisme un bon fonctionnement. Elle est accessible à tous les âges. (De plus Volvic fabrique ses bouteilles 100% recyclable ce qui montre que la nature est importante pour elle et qu’elle souhaite la préservée.)

A travers cette publicité, Volvic nous montre une nature belle, parfaite, et préservée par l'homme, car il sait qu'elle possède des vertus bienfaisantes pour lui.

 

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Publicité